« L'intrigue vous maintient en haleine jusqu'à la toute fin. » Reese Witherspoon
« On applaudit ! Moriarty excelle à jouer avec ses personnages [...] On se régale de la finesse de ses analyses psychologiques. » Alix Girod de l'Ain - Elle
Imaginez un terrain de tennis. D'un côté, un couple modèle, heureux en mariage depuis cinquante ans. De l'autre, leurs quatre enfants, soit la panoplie du bonheur.
L'enjeu de la partie ? Le grain de sable qui a enrayé une mécanique jusqu'alors parfaitement huilée, dévoilant des failles et des rivalités insoupçonnables, transformant les membres d'une famille idéale en de redoutables adversaires.
Que le meilleur gagne !
Et si nos proches étaient... nos pires ennemis ? Avec un savant dosage d'humour, de suspense et de poil à gratter, Liane Moriarty appuie là où ça fait mal. Pour notre plus grand plaisir !
« Captivant. » Grazia
« J'ai adoré. Un véritable page-turner avec tout l'esprit et le sens de la nuance qui ont placé Liane Moriarty au-dessus des autres. Liane Moriarty prouve une fois de plus qu'elle mène le peloton. » Jane Harper
« Incroyable et brillant. » Sophie Hannah
« L'intrigue vous maintient en haleine jusqu'à la toute fin. » Reese Witherspoon
« Jubilatoire ! » Cosmopolitan
Jamais deux sans trois ! C'est le credo des triplées Lynn, Cat et Gemma. Mais leur trente-quatrième anniversaire pourrait tout changer...
Il y a Lyn, la soeur raisonnable, qui bataille pour trouver un équilibre entre sa vie de mère, de couple et sa vie professionnelle. Cat, dont tout le monde envie le prétendu mariage parfait. Et Gemma, qui change de job et de fiancé comme de chemise. Elles sont soeurs, triplées, soudées. Ensemble, elles ont toujours réussi à surmonter les épreuves de la vie. Jusqu'à cette fête d'anniversaire qui lève le voile sur de dérangeantes vérités. Et menace de les plonger dans le chaos. Spécialiste en arsenic acidulé, la romancière australienne Liane Moriarty excelle à nous dévoiler les insoupçonnables secrets qui se cachent derrière les apparences. Après le succès du Secret du mari, traduit dans 55 pays et de Petits et grands mensonges, adapté en série par HBO sous le titre Big little lies, ce roman, mené comme un thriller, est un soap doux amer dont personne ne ressort indemne.
Trois couples épanouis. De charmants enfants. Une amitié solide. Et un barbecue entre voisins par un beau dimanche ensoleillé : tous les ingrédients sont réunis pour passer un bon moment. Alors, pourquoi, deux mois plus tard, les invités ne cessent-ils de se répéter : « si seulement nous n'y étions pas allés » ?
Après le succès du Secret du mari, traduit dans 55 pays, et de Petits secrets, grands mensonges, adapté par HBO, Liane Moriarty continue de dévoiler la noirceur qui rôde sous les vies ordinaires et nous plonge au coeur des redoutables petits mensonges et des inavouables secrets de l'âme humaine... Fin, décapant, et jubilatoire.
Jim Carrey est une star de cinéma adulée. Il a beaucoup de succès, on envie sa réussite et ses privilèges. Mais il est très seul. Il commence à vieillir, il prend du poids. Il passe des nuits à chercher de l'affection auprès de ses chiens de garde entraînés par le Mossad et à regarder des documentaires improbables sur Netflix. Il a tout tenté pour sortir de sa déprime : les régimes, les gourous, et même les bons conseils de son cher ami, acteur et collectionneur de crânes de dinosaures Nicolas Cage.
Rien ne va, jusqu'au moment où il croise la route de Georgie. C'est l'amour de sa vie, il le sait, il le sent. Charlie Kaufman, scénariste de Dans la peau de John Malkovich, lui propose alors un rôle dans un film d'un nouveau genre, un film qui repousse toutes les limites existantes et qui lui permettra sûrement de remporter un Oscar.
On dirait que l'horizon s'éclaircit enfin...
Mais l'univers a d'autres plans pour Jim Carrey...
Mémoires flous est bien un roman, qui interroge la notion d'identité. Jim Carrey et Dana Vachon ont écrit un livre hilarant, démesuré, cataclysmique par moments, qui dresse un portrait en creux plus vrai que nature de Carrey l'acteur, et de Hollywood. Satire mordante de la société du spectacle, et « semi-autobiographie », Mémoires flous est un roman inclassable, comme Jim Carrey !
Jim Carrey est un acteur plusieurs fois primé et un artiste.
Dana Vachon est romancier, journaliste et essayiste ; ses textes ont été publiés par Vanity Fair, The New York Times et Slate.
Greenie adore son métier de pâtissière à New York, elle a un jeune fils de quatre ans et semble avoir tout pour être heureuse. Mais ce n'est pas vraiment le cas, car son mari Alan, un psychothérapeute qui fut son grand amour, glisse lentement dans l'insatisfaction. Aussi, lorsqu'un fantasque gouverneur du Sud-Ouest lui offre un poste en or, Greenie saute-t-elle sur l'occasion, mettant Alan au défi de la suivre, elle et leur fils, à l'autre bout du pays pour commencer une nouvelle vie. Simple crise de la quarantaine avec son besoin de nouveaux horizons ? Sous le soleil radieux du Nouveau-Mexique, Greenie semble prête à toutes les remises en question.
1959. Au deuxième étage du grand magasin F.G. Goode's de Sidney, des jeunes femmes vêtues de petites robes noires s'agitent avant le rush de Noël. Parmi elles, Fay, à la recherche du grand amour ; l'exubérante Magda, une Slovène qui règne sur les prestigieux Modèles Haute Couture ; Lisa, affectée au rayon Robes de cocktail, où elle compte bien rester en attendant ses résultats d'entrée à l'université... Dans le secret d'une cabine d'essayage ou le temps d'un achat, les langues se délient, les vies et les rêves des vendeuses se dévoilent sous la plume délicate de Madeleine St John. Avec la finesse d'une Edith Wharton et l'humour d'un Billy Wilder, l'australienne Madeleine St John (1941-2006), livre un remarquable instantané de l'Australie des années 1950 et une critique subtile de la place de la femme dans la société. Devenu un classique dans les pays anglo-saxons, Les petites robes noires, traduit pour la première fois en français, est un chef-d'oeuvre d'élégance et d'esprit.« Un véritable diamant brut. »Sunday Times
Au coeur des montagnes sauvages des Rocheuses, Allison lutte pour sa survie. Unique rescapée d'un crash, blessée, elle fuit la carcasse fumante de l'avion, abandonnant derrière elle le corps inerte de son fiancé. Persuadée d'être traquée, c'est en réalité toute forme de vie qu'elle fuit désespérément.À dix États de là, sa mère, Maggie, refuse de croire à son décès. Alors que ses proches l'incitent à faire son deuil, elle décide de mener sa propre enquête. Mais les deux femmes avaient coupé les ponts depuis deux ans et, au fil de ses recherches, c'est une étrangère que Maggie découvre. Allison s'est construit une vie de rêve, mais à quel prix ? Maggie saura-t-elle comprendre la vérité à temps pour la sauver ?Il y a tant de façons de mourir est un thriller addictif qui dessine le portrait de deux femmes prêtes à tout pour protéger les êtres qui leur sont chers. Une ode somptueuse à la puissance du lien entre une mère et sa fille.Traduit de l'anglais par Sabine Porte« Un thriller complètement addictif » Le Soir magazine« Drôle d'histoire que celle-ci, aussi angoissante que déroutante, aux personnages attachants et dont le suspense se maintiendra jusqu'à la toute fin ! » Le Dauphiné Libéré« Vous cherchez un roman qui vous happe et ne vous lâche plus ? Courez chez votre libraire pour vous procurer ce bijou de suspense haletant qui explore la complexité des rapports mère-fille. Frissons garantis. » Do it in Paris« Frissons garantis avec ce thriller haletant, qui explore les relations mère-fille. » Télé 7 jours
L'île Moustique retient son souffle à l'approche d'une redoutable tempête tropicale. La plupart des résidents ont déserté ce coin de paradis. Et seuls quelques amateurs de sensations fortes sont restés. Dont l'héritière américaine Amanda Fortini qui, après une baignade matinale... disparaît mystérieusement.
Alertée par Solomon, l'unique policier de l'île, Lady Vee, propriétaire de Moustique, arrive aussitôt. C'est pour découvrir le corps sans vie d'Amanda. Nile et Lady Vee s'engagent alors dans une course contre la montre pour que ce paradis ne devienne pas un enfer...
Dame de compagnie de la princesse Margaret, Lady Glenconner, qui est aussi un des personnages de la série The Crown, a acheté avec son mari l'île Moustique en 1958 pour y accueillir des célébrités. C'est ce qui lui a inspiré ce suspense palpitant et glamour !
Angelica Garnett (1918-2012), nièce de Virginia Woolf, a grandi au coeur du Bloomsbury Group, qui réunissait d'influents écrivains, artistes et intellectuels anglais. Dans sa maison de campagne du Sussex ou dans celle de Gordon Square à Londres, on pouvait ainsi croiser, entre autres, Leonard et Virginia Woolf, Roger Fry, E. M. Forster, David Garnett - qui, lorsque Angelica était née, avait annoncé qu'il l'épouserait.
La vie de la jeune fille bascule lorsque, à dix-sept ans, celle-ci apprend qu'elle est le fruit d'une liaison entre sa mère et le peintre Duncan Grant. Et, plus tard, un second choc : elle découvre que David Garnett, devenu son époux, a été dans le passé l'amant de Duncan...
Avec cette autobiographie publiée en 1985, Angelica Garnett nous offre un portrait vibrant et sans concessions de sa mère, et démythifie un milieu fascinant, aujourd'hui entré dans la légende.Traduit de l'anglais par Sabine Porte.
"Le cirque arrive sans crier gare. Aucune annonce ne précède sa venue, aucune affiche sur les réverbères, aucune publicité dans les journaux. Il est simplement là, alors qu'hier il ne l'était pas."
Sous les chapiteaux rayés de noir et de blanc, c'est une expérience unique, une fête pour les sens où chaque visiteur peut se perdre avec délice dans un dédale de nuages, flâner dans un luxuriant jardin de glace, s'émerveiller et se laisser enivrer...
Derrière la fumée et les miroirs, la compétition fait rage. Deux jeunes illusionnistes, Celia et Marco, s'affrontent dans un combat magique pour lequel ils sont entraînés depuis l'enfance. Cependant ils s'aiment, et cette passion pourrait leur être fatale.
Le Cirque des Rêves, ensorcelante et universelle histoire d'amour, vous jettera un charme auquel vous ne pourrez pas résister.
En 1977, le Times désigne Barbara Pym comme l'un des auteurs les plus injustement méconnus du XXe siècle. Une remise en lumière qui sonne comme une renaissance pour l'écrivain, érigée alors en virtuose dans l'art de la comédie douce-amère. Avec Des femmes remarquables, l'un de ses plus fameux romans, Barbara Pym chronique délicieusement les tracas d'un quotidien pimenté et brosse, d'une plume teintée d'humour et d'ironie, un brillant tableau de la middle class londonienne d'après-guerre...
Londres, dans les années 1950. Mildred Lathbury, jeune femme célibataire au quotidien partagé entre la vie de la paroisse et les tâches domestiques, voit son existence bouleversée lorsque débarque dans son immeuble une fougueuse anthropologue au bras d'un très bel homme...
Je laissai Dora poursuivre, mais sans réellement lui prêter l'oreille car je connaissais l'opinion que nourrissait Dora à l'égard de miss Protheroe et de tout précepte religieux. Nous nous étions souvent querellées autrefois à ce sujet. Je me demandais comment elle pouvait gâcher autant d'énergie à lutter pour une vétille telle que le port du chapeau à l'office ; puis je me dis qu'après tout, la vie se réduisait, pour la plupart d'entre nous, à des détails de cet ordre : les petits désagréments plus que les grandes tragédies, les dérisoires petites envies plus que les grands renoncements et les tragiques passions amoureuses de l'histoire ou des romans.
« Magnifiquement écrit, saisissant de vérité, inoubliable, La Nature des choses s'immiscera dans vos rêves et vous hantera. »Megan Abbott, l'auteur d'Avant que tout se brise
« Sublimement sauvage. »Paula Hawkins, l'auteur de La Fille du train
« Un chef-d'oeuvre. »The Guardian
Dix femmes emprisonnées au milieu du désert australien. Dix femmes au crâne rasé, vêtues d'habits étranges. Trois geôliers, vicieux et imprévisibles, pour les surveiller. Un jour, la nourriture vient à manquer. Pour elles comme pour eux. Et les proies se changent en prédatrices.
Traduit de l'anglais (Australie) par Sabine Porte
Quand Nikolaï, veuf depuis peu, annonce à ses filles qu'il compte se remarier avec une jeune Ukrainienne de cinquante ans sa cadette, qui veut surtout obtenir la nationalité anglaise, elles oublient vite leur rivalité pour voler à son secours. L'intruse a, en sus, des ogives nucléaires en guise de poitrine et un penchant effréné pour le luxe à l'occidentale! Tandis que le vieil homme poursuit son grand oeuvre, l'«histoire du tracteur», une bataille épique commence...
Missouri, 1929. Un soir d'été, les habitants de West Table se rendent joyeux au bal du village. Mais la salle prend feu avant d'exploser, laissant de nombreux morts et beaucoup de questions.
Inspiré d'un drame qui toucha la famille de Daniel Woodrell, ce roman saisissant mène l'enquête et brosse le portrait intime et terrible d'une petite communauté, ses relations viciées, ses hypocrisies et ses secrets.
« Quand j'ai senti sa petite main qui m'agrippait, mon coeur s'est arrêté de battre. »
Il était posé là, dans le courant d'air glacial, le visage déjà couvert de flocons. Un bébé. Minuscule sous l'ampoule nue de cette chambre poussiéreuse. Je le voyais pleurer, ses cris se perdaient dans le vent. Je n'ai pas réfléchi : je l'ai pris dans mes bras et je me suis enfuie.
Je m'appelle Percy. J'ai seize ans. Voici mon histoire.
Depuis que Jen s'est fait plaquer par Matt, son (ex) petit-ami, elle passe ses soirées à siroter du Pinot gris dans sa baignoire en écoutant en boucle Lana del Rey. Pour la sortir de sa torpeur sentimentale, Aiden, qui travaille avec elle dans un labo de programmation informatique londonien, s'est juré de lui trouver la perle rare, ou du moins un homme qui la rendrait heureuse... Pari gagné ! Tom, fraîchement divorcé, est en quête d'une nouvelle vie. Même s'il vient de quitter l'Angleterre pour le Connecticut et une carrière d'écrivain, il est fait pour Jen comme elle est faite pour lui !
Mais comment connecter ces deux âmes esseulées ? Aiden a son idée... Sauf qu'Aiden n'est pas un collègue comme les autres, pas plus qu'il n'est l'ami de Tom. Aiden n'est pas un humain. C'est une IA : une intelligence artificielle...
Les algorithmes sont-ils capables de résoudre l'équation de la rencontre amoureuse ? C'est là toute la question de cette délicieuse comédie shakespearienne à l'ère du numérique, drôle et intelligente.
Il y a Jude, grande restauratrice à la retraite, Wendy, figure intellectuelle reconnue, et Adele, l'actrice qui ne décroche plus aucun rôle. Depuis la mort de Sylvie, la quatrième comparse, elles tentent coûte que coûte de soigner leur amitié, réalisant avec peine que leur pierre angulaire n'est plus là et que sans elle, l'équilibre du groupe est menacé.
Le temps d'un week-end, les trois femmes se retrouvent pour vider la maison de Sylvie. Les frustrations et les souvenirs douloureux de chacune refont surface. Des caractères qui s'opposent, un chien vieillissant, des invités surprises, du vin qui coule à flot et le chagrin d'avoir perdu leur amie menace d'éteindre leur lien pour de bon.
Le week-end explore cette deuxième partie de la vie, le moment du bilan et la conscience du déclin à venir. Souvent drôle, et d'une finesse incroyable, Charlotte Wood célèbre la tendresse et l'amitié comme personne.
Traduit de l'anglais (Australie) par Sabine Porte
« Je viens d'une famille forgée par les tragédies et liée par un amour extraordinaire, indestructible. »
À l'âge de deux ans, Hunter Biden est gravement blessé dans un accident de voiture qui tue sa mère et sa petite soeur. En 2015, il est dévasté par la mort de son frère aîné, Beau, des suites d'un cancer du cerveau. Durant la campagne présidentielle, au terme de laquelle son père, Joe Biden, sera élu, il est la cible d'attaques de Donald Trump. De terribles épreuves, amplifiées par l'effondrement de son mariage et une bataille de plusieurs années contre la toxicomanie et l'alcoolisme. Dans ce récit poignant, Hunter Biden raconte sa descente aux enfers et le long chemin vers la renaissance. Un chemin qu'il a pu parcourir grâce à l'amour de sa famille et de son père, et qu'il nous fait partager avec courage dans ce livre qui parle de perte et de fragilité.
Evenson ou l'ambassadeur du cauchemar nous offre un nouveau chef-d'oeuvre littéraire. Capable de l'humour le plus noir, plongeant ses personnages dans l'acide de situations extrêmes, Brian Evenson revient aujourd'hui avec ces textes forts et dérangeants, où l'absurde cache souvent une logique instable ou une terrible vérité.
Qu'il s'agisse du coeur d'un bébé qui bat dans la poitrine de son ours en peluche, d'un homme qui perd son bras, ou de la puissance dévastatrice de la poussière sur une autre planète, ce sont, toujours, le corps humain et sa psyché fragile qu'Evenson explore, grâce à son écriture à la fois épurée et tranchante.
Distillant le doute, jouant avec le suspense et l'incompréhension, il réussit à créer des ambiances aussi tangibles qu'irréelles, avec, en perpétuelle ligne de mire, la chute sans cesse recommencée de l'homme. Avec Evenson, le cauchemar a trouvé son ambassadeur.
Ce que la presse a dit :
" Une terrible puissance combinée à un humour ravageur. "Le Monde" Un univers dont on ressort sidéré mais admiratif. "L'Obs" Une oeuvre obsédante et vertigineuse. "Télérama
« Drôle et émouvant ! » Le Monde des Livres Le livre : Dans une ancienne ferme, près de Boston, Percy Darling, soixante-dix ans, coule ses journées de retraité à lire, à regarder de vieux films et à nager dans son étang en tenue d'Adam. Vieil ours, il n'apprécie que les visites de Robert, son cher petit-fils étudiant en médecine. Or cette paisible routine est compromise lorsqu'il permet à une école maternelle d'occuper sa grange. À mesure qu'élèves, parents et professeurs assiègent son refuge, il remet en question la vie solitaire qu'il mène depuis la mort de sa femme, trente ans plus tôt. Et quand il laisse se faire les rencontres, il lui devient impossible de rester à l'écart de la vie, de ses deux filles, de ses amis, ni même, à sa grande surprise, des joies éphémères de l'amour. L'auteur : Julia Glass est l'auteur de quatre romans, Jours de juin, Refaire le monde, Louisa et Clem et Les Joies éphémères de Percy Darling, qui ont tous été des best-sellers du New York Times. Elle s'est vu décerner plusieurs prix pour ses romans et ses nouvelles, dont le John Gardner Award pour Louisa et Clem, trois Nelson Algren Awards et le Tobias Wolff Award. Dans son dernier roman, La Nuit des lucioles, Julia Glass revisite des personnages de Jours de juin, qui a obtenu le prestigieux prix américain du National Book Award.
« Un portrait exubérant de sénilité, de luxure et d'avidité... un petit bijou ! »
The Economist
Quand leur père Nikolaï, veuf depuis peu, leur annonce qu'il compte se remarier avec Valentina, Vera et Nadezhda comprennent qu'il va leur falloir oublier leurs vieilles rivalités pour voler à son secours. Car Valentina a cinquante ans de moins que lui, des ogives nucléaires en guise de poitrine, et un certain penchant pour les plats surgelés ! Mais surtout, elle est prête à tout pour assouvir sa quête du luxe à l'occidentale. Tandis que Nikolaï poursuit tant bien que mal son chef-d'oeuvre - une grande histoire du tracteur et de son rôle dans le progrès de l'humanité - les deux soeurs passent à l'action. Commence alors une bataille épique pour déloger l'intruse aux dessous de satin vert, sur fond de secrets de famille.
Marina Lewycka est née à la fin de la guerre, de parents ukrainiens, dans un camp de réfugiés à Kiel, en Allemagne. Elle a grandi ensuite en Angleterre et vit à Sheffield. Son premier roman, Une brève histoire du tracteur en Ukraine, a été un best-seller international, lauréat du prix Bollinger de la comédie et sélectionné pour le prix Man Booker.
Depuis qu'elle est toute petite, Amina rêve d'ailleurs. De chocolat Cadbury et de pantalons à l'occidentale. D'hivers rigoureux et de discussions en anglais. De quitter le Bangladesh pour offrir un nouvel avenir à ses parents vieillissants. Quand, sur AsianEuro.com, elle fait la connaissance de George, un ingénieur américain de trente-cinq ans, elle accepte sans hésiter sa demande en mariage... Mais si la famille de George essaie tant bien que mal de l'accueillir, Amina perçoit dans l'atmosphère hypocrite des déjeuners dominicaux tous leurs préjugés. Sur sa religion, dans un contexte post-11 septembre encore brûlant. Sur le besoin qu'elle a de faire venir ses parents au plus vite, une fois obtenu son passeport américain. Quand s'ajoutent au fossé culturel les non-dits d'une relation apparemment sans histoires, les États-Unis cessent définitivement de ressembler à une terre promise pour Amina. Nell Freudenberger confirme son talent pour écrire l'exil. Ce portrait d'une jeune émigrée est aussi celui de deux pays que tout oppose, le Bangladesh et les États-Unis, dont elle capte avec une même justesse les contradictions.
« Marina Lewycka fait partie, au même titre que Hanif Kureishi, de ces auteurs anglais qui ont une réflexion profondément humaine sur le déracinement... Sa finesse la préserve de nous donner aucune autre leçon que celles de l'humour et de l'amour. »
Elle
Berthold Sidebottom, acteur divorcé et au chômage (qui partage son anniversaire avec George Clooney), habite avec sa mère, Lily, et son perroquet, dans un HLM à Londres. Quand Lily meurt subitement, Bertie doit se battre pour garder l'appartement, considéré trop grand pour un seul occupant. Il décide alors d'adopter Inna, une vieille dame d'origine ukrainienne rencontrée à l'hôpital.Londres au XXIe siècle est un lieu riche de langues - que ce soit l'ukrainien, le russe, le swahili ou le jargon managérial de gestionnaires de logement social. Un lieu où les maris désertent les foyers et où les conseillers municipaux sacrifient des cerisaies sur l'autel de nouvelles constructions. Un lieu où la vie, l'amour et la mort côtoient les aléas du monde actuel quand on ne s'appelle pas George Clooney.
Traduit de l'anglais par Sabine Porte
À la Kite's Nest Farm, les vaches vivent en liberté.
Chippy refuse de dormir avec les pieds boueux et fait toujours sa toilette avant de se coucher. Fat Hat préfère la présence des hommes à celle des femmes. Le vice caché de Jake est de renifler les émanations du tuyau d'échappement du Land Rover. Colérique et farouchement indépendante, Gemima salue tous les humains qu'elle rencontre d'un hochement de tête.
Dans son délicieux et très inattendu ouvrage, Rosamund Young nous donne des chroniques affectueuses, drôles et touchantes du monde des vaches avec lesquelles elle vit depuis plus de cinquante ans. Loin de l'agriculture intensive, respectueuse de l'environnement, elle nous offre ici le plus convaincant et
le plus amusant des plaidoyers contre la souffrance animale.
« Rosamund Young a écrit un livre d'observation, d'affection, d'amitié. Rosamund Young a écrit un livre de tendresse, de compassion, de complicité.
Rosamund Young a écrit, oui, c'est bien ça, un livre d'amour pour les vaches. »
FRANÇOIS MOREL
Traduit de l'anglais par Sabine Porte